Je découvre aujourd’hui ce nouveau concept: le « luxe responsable et durable » 1.618, vouloir mettre l’éthique au coeur d’un commerce perçu comme l’opposé.
Et dans un tout autre genre, cette agence: Babel, qui clame « Chez Babel nous sommes obsédés par la création de valeur, (…) c’est par nos questions que nous trouvons le chemin de la valeur. » Repenser la publicité de manière créative et non marketing.
On sent bien dans ces deux démarches le courant en vogue que chacun cherche à toucher du doigt: mettre quelque chose d’honnête et d’intègre dans les processus de commercialisation.
C’est faire rejoindre deux mondes que tout oppose a priori, c’est mettre des mots et poser des actes pour construire un point entre les deux.
Deux choses m’interpellent dans ces discours: la valeur revient titiller les acteurs d’aujourd’hui comme un rappel aux sources, et c’est tant mieux, mais dans la « valeur commerce » combien de définitions peut-on faire rentrer? Combien de mots compatibles? entre le bon, la brute et le truand…
Plus concrètement, ce désir des « fabricants » et le désir des clients peuvent-ils se rejoindre jusqu’à établir une économie viable et responsable?
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